L'encrier est vide. Le moulin est loin du magasin. Il faut prendre le car le matin, rentrer tard le soir. Forcément, aller à la ville fait perdre la journée.
L'encrier est vide, le cerveau est vide. Heureusement, la rivière coule à flot. Si seulement il coulait de l'encre... Tu sais, Cabrel, l'encre de tes yeux, tout ça. Si seulement.
Ar Meilher,
Les pensées du meunier.
Bonjour !
RépondreSupprimerJ'arrive de chez Olöf et suis contente de découvrir vos pages..
Si je m'arrête sur celle-ci c'est parce que j'aime la pensée du jour !
Jour sans encre.. Aussi long que jour sans pain pour un meunier écrivain !
Je reviendrai vous lire et vous apporter mon grain à moudre
car j'aime l'atmosphère qui règne chez vous !
Merci, Danièle. J'essayerai de toujours savoir vous accueillir comme vous l'aimeriez dans les pensées disparates de ma vie de meunier.
RépondreSupprimerJe suis bien sûr preneur de votre grain à moudre, que le blé soit blanc ou noir. Soyez la bienvenue à tout moment.
Bonjour à Olöf de ma part, si vous lui écrivez. Depuis mon modeste moulin, j'ai repris goût avec elle à l'usage de la langue millénaire de mes ancêtres.